Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/198

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
175


nous nous partageâmes le champagne et les gâteaux tout en discutant sur les scènes qui venaient de se passer.

Ma chère femme s’accorda avec nous en faisant remarquer combien l’homme du milieu semblait jouir bien davantage que les deux autres.

— Alors, pourquoi n’essayons-nous pas ? s’écria la Grandvit.

Je suis absolument de ton avis, répondit son mari.

— Qui commencera ? pensai-je, car sa femme en ayant eu la première idée, elle devait naturellement réaliser cette idée sur sa propre personne. Je devais la foutre pendant que lui l’enculerait.

Cet arrangement fut immédiatement adopté. Je m’étendis sur le dos, la charmante Grandvit m’enjamba, se leva et s’abaissa plusieurs fois sur ma pine, et déchargea avant de s’être baissée sur mon ventre en présentant son magnifique cul à son mari impatient, qui se tint pendant quelques minutes agenouillé derrière elle, la pine à la main.

Après avoir bien lubrifié sa pine, il s’enfonça à la fin par des mouvements doux dans le magnifique trou du cul de sa femme, et, doucement d’abord, puis ensuite avec énergie, nous tirâmes un coup des plus délicieux.

Comme il n’y avait plus personne maintenant dans la chambre à côté, nous n’étions pas obligés de retenir nos exclamations voluptueuses. La Grandvit éprouva une telle extase de volupté,