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jolis garçons, évidemment des garçons de café, une catégorie de gens habitués à cette sorte de plaisir et servant de mignons à ceux qui les désiraient.

Ils crurent que tel était mon projet. Ils étaient déjà tout nus et leurs deux pines bandaient déjà très fort. Ils se tournèrent tous deux dans tous les sens, me demandant quel cul je voulais foutre et par quelle pine je voulais être foutu.

La vieille maquerelle qui avait intérêt à ce que je les possède, maniait leurs pines avec plaisir, me montrant la fermeté et les attraits de leurs culs, me pria de toucher comme ils étaient durs, aussi bien que la raideur de leurs pines et la rondeur de leurs couilles.

Je les pelotais et aurais été fort heureux de les posséder tous deux, mais je savais qu’ils avaient l’infâme habitude de faire chanter, en disant à tous les gens qui avaient les mêmes habitudes qu’eux dans le monde entier, gens avec lesquels ils sont en relations les uns les autres, et qui venaient n’importe où vous vous trouviez, vous demander de l’argent en vous menaçant de dévoiler vos passions.

Aussi, secouant la tête, j’empêchai la vieille putain de sortir ma pine, qui serait devenue peut-être trop excitée ; je lui répondis qu’elle savait que je n’étais venu que pour voir l’opération et n’avais nullement l’idée de me livrer à eux.

La vieille échangea avec eux un regard mutuel de désappointement, mais ils se mirent à ma disposition et me demandèrent lequel devait être le