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rière et ne changea rien à sa position pour le moment. Nous le maniâmes et le caressâmes. Le monsieur, tâtant le cul de ma femme, cria à sa chérie :

— Voilà un cul qui vaut le tien.

Cependant, comme je me tenais à côté d’elle, lui tâtant le cul, elle glissa sa main dans ma braguette, et en réponse à cette exclamation, elle dit :

— Voilà une pine plus grosse que la tienne. Oh ! je crois que nous allons être bien heureux !

Elle se releva et sortit tout à fait ma pine toute raide pour la faire voir à son mari, car, comme nous, c’était un couple de gens mariés, mais très lubriques.

Comme la chambre étroite ne pouvait contenir qu’un couple, je proposai de prendre sa femme dans ma chambre et de lui laisser la mienne, et comme les deux sofas étaient tout près de la cloison, nous pourrions nous exciter mutuellement par nos soupirs et nos expressions cochonnes.

Ceci fut accepté de suite.

Nous nous mîmes tous à poils ; ma nouvelle compagne était magnifiquement faite, elle ressemblait beaucoup comme corps à ma tante, avec un cul splendide, quoique cependant pas aussi développé que celui de ma chère tante. Son con était délicieux, son mont de Vénus large et tout couvert de poils frisés et doux comme de la soie ; son con juteux avait la véritable odeur et était très étroit ; quant à ses mouvements et à ses pressions intérieures, ils ne laissaient rien à désirer.