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pasteur qui lui pelotait son vit toujours bandant.

— Allons, raconte-moi.

— Eh bien, monsieur, pendant que Charles était occupé avec maman…

— Oh ! en est-il vraiment ainsi ? s’écria le pasteur, il nous dira tout alors lui-même tout à l’heure, continue.

— Je me glissai dans la chambre d’Ellen, mais elle fit quelques difficultés dans la crainte que maman ne nous surprenne ; mais je la conduisis devant la chambre de Charles et lui fis voir maman qui s’enfilait sa grosse pine. Elle fut stupéfiée de son extraordinaire grosseur, mais voyant avec quelle aisance et quel plaisir maman s’en accommodait, elle pensa que la mienne, qui était plus petite, ne lui ferait pas de mal, et elle me laissa faire. Cependant je la fis crier et saigner quand j’atteignis sa virginité. Elle essaya de me repousser, mais j’étais trop fermement enfoncé, et je la foutis complètement deux fois avant de me retirer ; je lavai son con, y appliquai un peu de glycérine, et je l’ai encore fait ce matin sans lui faire aucun mal. Elle y prit tant de plaisir, qu’elle embrassa et suça mon vit, me fit décharger dans sa bouche et me demanda de tirer avec elle un dernier coup.

— Sur mon honneur ! s’écria le pasteur, voilà une jolie affaire ! Maintenant suce ma pine comme elle a sucé la tienne.

Henry obéit jusqu’à ce qu’elle devint raide. Il cessa alors et ce fut à mon tour de monter sur le