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était meublé avec le goût français, mais avec le confortable anglais.

Les agréables journées que nous avions passées, pendant notre voyage, à visiter les différentes villes intéressantes sur notre chemin, avaient tout à fait rétabli la santé de ma femme qui avait, avec la santé, repris toute sa vigueur et sa lubricité. Le lit confortable, le bon dîner et les vins excellents m’avaient excité au suprême degré, et nous passâmes une nuit aussi délicieuse que celles que je passais avec elle dans les premiers temps que je la possédais dans sa chambre d’institutrice.

Nous nous rappelâmes ces jours heureux et nous livrâmes aux excès les plus lubriques, ma chère femme se surpassa ainsi que moi-même et nous foutîmes jusqu’à ce que le sommeil se fut emparé de nous, ayant ma pine enfoncée dans son con étroit et délicieux ; de sorte qu’en m’éveillant au grand jour je sentis ma pine se tenant toute raide dans son con, qui la pressait délicieusement, quoiqu’involontairement, car la chérie n’était pas encore réveillée.

Je l’éveillai par des mouvements gentils et en branlant son long clitoris, de sorte qu’elle s’éveilla en jouissant, ce dont elle n’était jamais lasse. À ce moment un besoin naturel nous obligea de déconner pour soulager nos vessies trop tendues.

Nous nous aperçûmes qu’il était plus de dix heures, aussi elle me claqua les fesses et m’envoya dans le cabinet de toilette pour m’habiller, afin que nous fussions prêts tous deux pour le