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se prêtait à toutes les fantaisies de ce vieillard et lui avait même permis, après s’être fait longtemps prier et pour lui prouver son attachement et son amour, de l’enculer. Comme cette opération nécessitait une pine très raide, elle lui fit le plaisir de le peloter et le sucer jusqu’à ce que sa pine eût atteint la raideur voulue.

Aussi il l’adorait à la folie et elle pouvait en faire tout ce qu’elle voulait. Ses désirs étaient des ordres pour lui, aussi elle faisait tout ce qu’elle voulait.

Plusieurs fois, elle me dit qu’il s’épuisait outre mesure avec elle, qu’elle faisait tout ce qu’elle pouvait pour modérer ses passions, mais sans succès ; il était fou des charmes de son corps, il avait reçu le « coup de foudre » ou plutôt le « coup de con », qui est la plus forte passion qui puisse saisir un homme, mais qui est dangereuse pour un vieillard.

Aussi, sa sieste du dimanche après-midi était longue et donnait toute facilité à la Frankland pour venir avec mes sœurs à mon logement, où, nus comme Adam et Eve, nous foutions de toutes les manières connues et inconnues.

Je m’aperçus bientôt que nous avions besoin d’un aide ; aussi, avec le consentement de ma chère Frankland, je mis le comte dans notre confidence, lui demandant s’il voulait se joindre à nous dans nos orgies du dimanche.

On peut s’imaginer avec quelle joie il accepta, car, à part son plaisir à voir mes accouplements