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pour les plus grandes orgies de la plus furieuse luxure ; tous deux poilus jusqu’à l’invraisemblance, montraient cette extraordinaire profusion de poils dont leurs deux corps étaient couverts. Ils furent instantanément attirés l’un vers l’autre, se jetèrent dans une mutuelle étreinte et, tombant sur le plancher là où ils se rencontrèrent, tirèrent deux coups de suite avant de revenir à un état plus modéré et plus conforme aux opérations générales. Cependant, toute cette scène nous avait tous considérablement excités.

La Benson était furieusement stimulée par la vue du superbe corps de la Frankland ; son long et rouge clitoris, non satisfait par la double décharge du comte, n’en paraissait, au contraire, que plus excité, et faisait soupirer d’envie l’adorable Benson, Elle se jeta elle-même à contre-sens sur la Frankland avant qu’elle eût le temps de se relever, saisit dans sa bouche le prodigieux clitoris, m’appela pour la foutre par derrière et, introduisant ses doigts dans le cul et le con de la Frankland, se mit alors à opérer partout avec fureur. La chère Frankland répondit en gougnottant le joli clitoris de la Benson et en me donnant le postillon dans le trou du cul. Nous tirâmes deux coups dans cette délicieuse position et, nos passions étant un peu assouvies, nous nous levâmes pour organiser des combinaisons mieux groupées.

Le comte avait enfilé la Egerton pendant que nous étions occupés avec Frankland. Notre pre-