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Au printemps, la charmante Frankland, maintenant madame Nixon, revint à Londres. À cette époque j’étais installé dans mon nouveau logement au Palais ; je l’avais meublé simplement, mais avec tout le confortable nécessaire pour les plaisirs amoureux à deux et pour les plus folles orgies.

Ce fut l’adorable Benson qui l’inaugura et le dédia au service de la Sainte-Mère Vénus et de son fils Cupidon, aussi bien qu’à celui du plus libertin Eros.

Ce fut dans cette circonstance que ces deux créatures folles de luxure insistèrent pour voir le comte et moi nous enculer mutuellement. La Benson me guida dans le cul du comte, qui enculait en même temps la Egerton et la Benson conduisait le comte dans mon cul pendant que je jouissais dans le cul délicieux de mon adorée Benson. Cela satisfit le désir qu’elles avaient depuis longtemps de voir des hommes s’enculer, et cela ne déplut ni au comte ni à moi, qui tous deux, dans le secret de notre cœur, désiraient nous posséder l’un l’autre.

Le comte était un homme puissant et poilu et avait le trou du cul spécialement plein de poils, ce qui m’excitait follement.

Pour cela mon goût différait de celui de mon ami Mac Callum, qui aimait les culs nus de jeunes gens sans un seul poil, me disant que les hommes qui avaient le cul plein de poils le dégoûtaient presque et quoique pendant sa vie de pédéraste il