Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/127

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
106


çâmes à opérer et fîmes une première et délicieuse décharge.

Le second coup fut absolument divin et exquis, et par la suite la lascive Egerton préféra cette manière de jouir à toutes les autres.

Ces délicieuses orgies avec ces deux ravissantes femmes se renouvelaient tous les trois jours.

Je devins un ami favori de leurs deux maris, grâce à l’air que je pouvais prendre d’un agneau innocent.

Pendant ce temps, comme j’avais reçu une bonne instruction, que j’étais très studieux, attentif aux classes du collège et désireux de connaître les langues étrangères, je devins assez savant en espagnol et en allemand et pouvais lire le français et l’italien.

Je perfectionnais cette dernière langue avec le comte, car nous n’en parlions pas d’autre ensemble. Peut-être c’était la raison qui faisait que monsieur Egerton me témoignait une plus grande amitié, car il était un très bon élève en italien. L’intrigue de sa femme avec le comte avait été une excellente occasion pour elle de se perfectionner, aussi quand nous dînions tous les quatre ensemble nous parlions toujours italien.

La chère Benson aussi était une parfaite maîtresse de la « langue » du comte, car elle l’avait assez souvent dans la bouche ; et comme c’est un langage très doux qui invite par lui-même à l’amour et à la jouissance, il devint notre langage favori pendant toutes nos orgies.