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les femmes, car, comme ma tante et miss Frankland, elle était très friande des jouissances des tribades. Sa situation de domestique m’empêchait de la présenter à Ellen et à mes sœurs. De plus, par simple prudence, il valait mieux ne pas lui faire connaître notre parenté en raison des libertés qu’elle nous permettait sur leurs charmantes personnes.

Le comte, nos deux charmantes amoureuses et moi, nous réunîmes le jour convenu pour renouveler notre délicieuse orgie. Après avoir foutu les deux chères créatures, nous nous mîmes en position pour la double jouissance.

Nous commençâmes par la Benson, afin que la vue de nos exploits érotiques excite au plus haut degré la chère Egerton. C’était mon tour d’occuper l’autel secret de Priapus pendant que le comte remplirait le con avec délices.

Comme je l’ai déjà dit, le trou du cul de la Benson était bien plus habitué à cela que celui de la Egerton, dont le mari n’avait jamais pensé à une telle « horreur », comme elle appelait ça. Monsieur Benson, au contraire, l’aimait beaucoup, et passait rarement une nuit sans offrir son offrande à cette délicieuse ouverture. Aussi, quoique ce fût seulement la deuxième fois qu’elle se procurait la double jouissance, sa grande lubricité lui fit accepter, avec une bien plus grande facilité, ma grosse pine dans son trou du cul et celle du comte dans son con.

Elle montra une rage de folle luxure, créée par