Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/110

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
91

— Les femmes sont le mieux parées quand elles ne sont pas du tout parées.

On ne pouvait pas voir deux femmes plus jolies ni plus admirablement bien faites, et aussi voluptueuses et lascives dans leurs passions qu’une femme puisse être ; aussi ce fut pour nous un bonheur de satisfaire leur ardente luxure en les foutant de toutes les manières et en leur faisant sentir pour la première fois les délices de deux véritables pines en même temps. La charmante Benson, comme ma première initiatrice aux mystères de Vénus, réclama ma première décharge, le comte foutant madame Egerton. Nous nous étions placés de manière à nous voir opérer mutuellement, et cela ajoutait beaucoup à notre jouissance. Les chères créatures déchargèrent trois fois pendant que nous déchargions une fois.

La Egerton me réclama alors pendant que le comte remplissait le con que je venais de quitter à la minute.

Nous les fîmes encore décharger trois fois et nous une. Elles préférèrent ces fouteries préliminaires à tous les excès auxquels nous allions nous livrer, car elles excitaient et préparaient leurs passions à de plus voluptueuses étreintes.

Les deux chéries aimaient de temps en temps à sentir une pine dans le cul, mais jusqu’à ce jour elles n’avaient jamais eu l’occasion de sentir une pine dans chaque ouverture en même temps.

La Egerton, pour qui ma pine était une nouveauté, dit qu’elle devait l’avoir dans le con pen-