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s’instituant maîtresse de cérémonies, sortit ma pine, releva les jupons de madame Egerton, nous tourna en face l’un de l’autre et lui fit manier et admirer les dimensions de ma pine ; puis, la faisant mettre à genoux pour que je puisse admirer son magnifique cul, elle guida ma pine frémissante dans son con vraiment délicieux.

Nous tirâmes un coup superbe qui, comme le dit madame Benson, nous mettait à notre aise pour une entrevue qu’elle avait organisée pour le lendemain, pendant laquelle le comte se joindrait à nous, ajoutant que j’aurais alors à rivaliser comme ardeur et vigueur avec le comte.

Nous nous rencontrâmes le lendemain dans une maison tranquille de Percy street, Tottenham court road. Les dames étaient allées au bazar de Soho, laissant leur voiture dans Soho square, sortirent par derrière dans une petite rue, sautèrent dans une voiture et arrivèrent à Percy street.

Il est inutile de dire qu’aussitôt arrivées, elles furent couvertes de baisers et de caresses, puis elles se retirèrent dans une chambre donnant dans celle où nous nous trouvions, afin de se débarrasser de tout ce qui pouvait gêner nos transports amoureux pendant que nous en faisions autant de notre côté. Nous eûmes plus tôt fait qu’elles, et le comte était en train de manier et d’admirer l’immensité de ma pine, lorsque les deux admirables créatures entrèrent dans l’état de pure nature, ce qui nous fit pousser cette exclamation :