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société. Mon oncle, ma tante et Henry furent enchantés de cette idée, mais madame Dale et Ellen n’étaient pas contentes. Cependant comme la majorité était pour elles, ma tante alla les chercher à la pension pour leur faire passer les vacances avec nous.

Je les avais prévenues de se taire sur nos jouissances antérieures et de dire comme moi qu’il n’y avait que fort peu de temps que je les avais initiées, mais qu’elles aimaient ça à la folie.

Elles amenèrent un surcroît de jouissances à la société. Mon oncle les affectionnait et ne se lassait jamais de foutre, sucer ou gamahucher leurs splendides charmes. Ma tante, qui avait la passion des jeunes et fraîches femmes, professait pour elles une admiration sans bornes et les gougnottait constamment.

Je mis Henry dans le secret de nos réunions avec Mac Callum et, avec l’assentiment de ce dernier, je l’introduisis dans nos jouissances à la taverne.

Mac Callum était très friand du joli cul étroit du jeune Dale ; il aurait aussi voulu que j’introduise Ellen ; je lui en causai et à la fin elle se joignit aussi à ces petites orgies particulières.

En mars, madame Benson, madame Egerton et leurs maris vinrent à Londres.

J’avais écrit aux Benson et j’avais reçu un mot d’« Elle » me prévenant du jour de son arrivée, J’allai de suite leur rendre visite, et la trouvant