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ment raide, car j’étais excité aussi par les beautés que madame Nichols me montrait si inconsciemment ; m’approchant d’elle, je la saisis à la ceinture par derrière, la poussai en avant, et avant qu’elle pût comprendre ce qui lui arrivait, je l’avais courbée sur le bord du lit où je découvris son cul magnifique, et m’enfonçai ensuite dans son con jusqu’aux couilles.

Elle cria à l’assassin, mais comme personne ne pouvait entendre, excepté les nièces, je savais que je ne serais pas interrompu. Je continuai à la foutre malgré ses cris, et passant ma main autour de sa taille, je lui chatouillai avec le doigt son clitoris qui se dressa dans des proportions superbes. Ma grosse pine, aidée du branlage du clitoris, produisit son effet naturel ; malgré elle, elle se mit à jouir. Je sentis les serrements de son con et m’aperçus que ses passions étaient enflammées.

Au lieu de continuer à résister, elle se mit à crier par saccades : « Oh ! oh ! » Elle respirait bruyamment et tortillait son splendide cul avec une grande volupté, et au moment où je déchargeais, elle aussi fut prise de l’extase finale de la volupté. Elle demeura palpitante, enfilée par ma grosse pine qui n’avait pas débandé. Je recommençai un mouvement lent, elle ne fit aucune résistance, se contentant de crier : « Oh ! cher ! oh ! cher ! » comme si elle ne pouvait s’empêcher de jouir, malgré tous ses regrets. Cependant, à la fin, elle dit :

— Oh ! quel homme vous êtes, monsieur Ro-

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