Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/81

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
82


suite, ce qui amènera une deuxième fouterie, devant ou derrière, comme tu aimeras le mieux.

— Tu es un ange, ma femme chérie, et je ferai mon possible pour satisfaire tes deux orifices, il est vraiment honteux qu’ayant une femme aussi magnifiquement belle de formes, je soie obligé d’avoir recours à un autre stimulant que celui de simplement regarder tes admirables proportions ; mais je suppose que c’est l’âge qui affaiblit ma vigueur.

— Tu es dans le vrai, mon cher John, car moi qui avais l’habitude de croire que ta vieille pine était suffisante pour moi, je suis obligée d’avoir recours à de jeunes pines pour satisfaire mes désirs, réclamés par mon amoureuse constitution ; ce serait honteux si je ne me prêtais pas à tous tes petits caprices, quand tu fais tout ton possible pour chercher les occasions de me satisfaire. J’aurais seulement désiré que mon neveu fût plus digne de nous, nous en aurions fait une bonne bouche entre nous deux, aussi bien pour sa satisfaction personnelle que pour la nôtre.

— Mais, ma chérie, l’air de Kent et une éducation plus virile peuvent le développer beaucoup, et sous ton éducation, il peut devenir un sujet pas aussi à dédaigner que tu ne le penses ; quoi qu’il en soit, il nous servira toujours de pis-aller, jusqu’à ce que nous trouvions mieux ; mais tu devras procéder avec précaution, car il paraît aussi timide qu’une jeune fille.

— Mon cher John, les plus timides deviennent les meilleurs quand une fois ils sont lancés. J’au-