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se continuait autour de chaque cuisse jusqu’à ses fesses et, se séparant par derrière, encadrait tout autour les deux superbes demi-lunes qui se trouvaient au bas de son dos.

Elle avait là plus de poils que beaucoup de femmes n’en ont sur le mont-de-Vénus. Tout son corps était couvert de poils fins et droits, très épais sur les épaules, les bras et les jambes, au travers desquels on apercevait une peau blanche comme du lait.

Elle était la femme la plus poilue que j’aie jamais vue, et c’était certainement la cause de son extraordinaire lubricité et de son tempérament si passionné.

La vue dont je jouissais amena pour ma pine une érection complète ; comme nous nous levions tous deux, elle s’aperçut qu’elle pointait sous ma chemise.

— Enlève tout ça, dit-elle, et laisse-moi promener mes regards ravis sur tes jeunes charmes.

Je fis suivant son désir, la priant d’en faire autant, elle se tint debout, toute nue, dans toute la gloire de ses magnifiques formes.

Nous contemplâmes mutuellement nos corps nus, nous faisant tourner l’un l’autre dans tous les sens, afin de bien voir tous nos charmes excitants.

— Viens, mon chéri, que je t’embrasse et te caresse partout.

Elle me fit étendre sur le dos, se coucha sur moi en sens inverse et, prenant ma pine dans sa bouche après l’avoir pelotée gentiment, louant ses sur-