Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/74

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
75


fourrager entre ses cuisses. Elle posa ses brosses à cheveux et s’empara de sa pine, mais elle dit aussitôt :

— Ne m’excite pas, mon cher, tu vois que ce pauvre ami ne peut rien faire sans la verge et nous n’en avons pas ici, aussi reste tranquille, vas te coucher, tu seras un sage garçon.

Il lui obéit, se leva, enleva sa robe de chambre, mit sa chemise de nuit et se jeta sur le lit où il s’endormit bientôt profondément avant que sa magnifique femme n’eût terminé sa toilette de nuit. Quand elle fut finie, elle enleva son corset et passa sa chemise par-dessus sa tête ; je faillis tomber à la renverse en voyant ses énormes fesses. J’étais positivement stupéfié. Je m’imaginai voir Junon dans toute sa gloire devant Jupiter, et certainement il pouvait bien être tenté si Junon avait un derrière aussi beau et aussi énorme que celui de ma tante.

Elle se baissa encore toute nue et fit couler un nouveau torrent dans le vase de nuit. Je ne pus résister à cette vue, je me dirigeai vers mon lit et pour la première fois de ma vie je fus obligé de soulager moi-même, par la masturbation, l’excitement de ma luxure, qu’avait engendré la vue de ces beautés surnaturelles. Je pus à peine m’empêcher de pousser des cris de bonheur quand arriva la crise, surtout quand je déchargeai un jet de foutre qui jaillit du lit jusque vers la porte, vers laquelle j’avais dirigé ma pine, tout en la branlant avec fureur et l’enfonçant, en imagination n’importe où ; car si le proverbe : « On peut foutre