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d’une fraîcheur et d’une blancheur qui pouvaient rivaliser avec l’ivoire auquel elles ressemblaient de plusieurs manières, car elles étaient toujours fraîches au toucher. Les jambes étaient dignes des cuisses, se terminant par des chevilles minces et charmantes et des pieds très petits pour sa taille. Comme sa chemise avait des manches courtes, elle montrait entièrement à ma vue les magnifiques beautés de formes de ses splendides bras et de son cou, ainsi que des tétons énormes et excessivement blancs. Comme on peut le supposer, on ne voyait aucun os percer au bas de son cou, ce qui est un signe de grande beauté chez une femme. Quand une femme montre les os de sa poitrine, c’est le signe d’une naissance commune.

Les énormes tétons de ma tante se dressaient superbement au-dessus de son corset, qui devait les soutenir comme je le croyais à ce moment, mais cette superbe femme n’avait pas besoin de cela, ses charmants tétons se tenaient d’eux-mêmes très droits, pointant en avant leurs bouts roses. Son ventre seul était un peu trop proéminent, quand elle était debout, il ne tombait pas en formant tablier ; au bas se trouvait le plus large et le plus proéminent mont de Vénus que j’aie jamais rencontré, abondamment couvert de poils blonds, qui n’empêchaient pas de voir au travers sa peau aussi blanche que du lait.

Elle était bien fournie de poils dans cette partie, mais après la fourrure extraordinaire que possédait miss Frankland, avec laquelle j’avais si sou-