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et s’engloutir dans votre con poilu et délicieux, laissez-moi donc sacrifier à vos charmes incomparables. Elise vient justement de me dire que vous me cherchiez pour cela, voyez, votre cher clitoris est tout raide ; laissez Marie se coucher sur vous pour vous sucer le clitoris pendant que ma grosse pine vous remplira complètement le con sous ses yeux. Vous pouvez la gamahucher, Elise regardera par derrière cette vue enchanteresse et donnera le postillon à mon trou du cul.

— Eh bien, mes chers enfants, le mal est fait, il est inutile de crier quand le lait est renversé, profitons-en donc du mieux que nous pourrons. Je ne puis résister à la vue de cette éloquente et bien aimée « affaire » si longue et si grosse, qui a été faite pour rendre les femmes folles de volupté.

Nous mettant alors tous dans la position que je viens de décrire, nous tirâmes un coup des plus délicieux et des plus lubriques qu’il soit possible d’imaginer. Elise, qui s’était emparée d’un godmiché, se l’enfilait tout en contemplant les mouvements saccadés de nos corps, et nous déchargeâmes tous ensemble très copieusement. Il ne nous était pas possible d’en faire davantage pour le moment, car il se faisait tard et les domestiques allaient bientôt se lever.

Miss Frankland regagna ma chambre avec moi, car sa propre chambre était fermée en dedans ; elle m’embrassa bien tendrement, me disant que j’étais un polisson, mais qu’elle avait toujours sup-