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surant qu’il n’y avait pas à craindre qu’on nous découvre, moins encore maintenant qu’auparavant, car nous étions tous intéressés à bien garder le secret ; elle faciliterait mon intimité avec mes sœurs, et elles, faciliteraient mon intimité avec elle. De suite elle répondit :

— Depuis combien de temps est-ce que cela dure ? Dis-moi la vérité.

Depuis longtemps je m’étais préparé à cette question et répondis de suite que depuis sa description des scènes lascives qui s’étaient passées entre elles, et son admiration pour leurs jeunes charmes, j’avais été pris d’un violent désir de les posséder, que j’avais pris Marie pendant qu’Elise était couchée avec elle, et Elise pendant que Marie était dans son lit, qu’elles avaient été trop heureuses pour ne rien me refuser et que nous avions déjà joui une douzaine de fois les uns des autres.

J’avais auparavant prévenu mes sœurs de confirmer n’importe quelle histoire je pouvais raconter à miss Frankland.

Elise nous avait rejoint quand elle avait vu miss Frankland sortir à ma recherche et toutes deux dirent comme moi.

Nous entourâmes miss Frankland en la caressant de partout. Ma pine devint affreusement raide Relevant ma chemise de nuit, je dis :

— Laissez ce joli morceau faire la paix entre nous et devenir également cher à vous toutes. Je sais, ma chère maîtresse, que mes sœurs sont avides de le voir s’exercer sur votre magnifique personne