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Ses mains pelotaient les formes d’Elise, dont la figure enflammée et les yeux brillants de désirs montraient qu’elle était très excitée. Miss Frankland elle-même commençait à s’émouvoir, mais elle la fit s’étendre de suite sur ses genoux et commença quelques cinglées gentilles, juste suffisantes pour amener le sang dans cette partie, ce qui agissait doublement sur les organes érotiques déjà excités par le pelotage ; Elise commença à tortiller le derrière avec volupté sous les yeux de miss Frankland excitée, qui, voyant que les choses tournaient en sa faveur, augmenta la violence de ses coups, mais seulement pour augmenter l’excitement de sa patiente, au point que ne pouvant plus résister à la volupté, elle s’écria :

— Oh ! ma chère miss Frankland, je meurs de plaisir, étreignez-moi, caressez-moi.

Miss Frankland la releva et l’attira sur son sein et sur ses lèvres et, tout en lui suçant la langue, elle glissa sa main en bas et trouva la fente d’Elise mouillée du foutre qui coulait de son petit clitoris tout raide par suite de la passion érotique qui la consumait.

Elle la branla jusqu’à ce qu’elle déchargeât une nouvelle fois, pendant que leurs langues allaient et venaient dans leurs bouches. Au moment où Elise déchargea, miss Frankland enfonça un doigts dans son con, qui, naturellement, ne fit aucune résistance, mais comme Elise possédait dans la perfection l’art de resserrer, elle la trouva suffisamment