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mains réunies, je revins, en jetai un peu sur son con encore tout frissonnant et éparpillai ce qui restait dans mes mains sur sa figure. L’effet désiré ne se fit pas attendre ; elle ouvrit les yeux, se leva sur son derrière et me jeta ses bras autour du cou pendant que je m’agenouillais à ses côtés. Elle m’embrassa en me disant que je lui avais fait sentir les joies du paradis et elle se mit à pleurer à chaudes larmes d’une manière tout à fait nerveuse.

Je la consolai de mon mieux, lui demandant pourquoi elle pleurait.

— Je n’en sais rien, mon Charles aimé, mais la dernière fois je me sentis malade et m’évanouis juste après que tu m’eus eu donné ce bonheur céleste que je n’aurais jamais cru possible. Je ne sais pas pourquoi, mais encore maintenant je me sens toute nerveuse.

Je l’embrassai tendrement, lui demandai de se lever et de venir vers le ruisseau où elle pourrait boire, lui disant qu’elle s’accroupirait au bord et que je pourrais laver et rafraîchir son cher petit con, ce qui la remettrait tout à fait bien. Elle me dit qu’elle attribuait cela à l’immensité de ma pine.

— Cependant, elle ne m’a pas fait mal, Charles chéri, elle m’a au contraire trop fait jouir : oh ! tu me la mettras encore, n’est-ce pas, mon aimé, quand nous en trouverons l’occasion ?

Je lui assurai que je serais toujours trop heureux de le lui mettre encore, mais que sa tante