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Elle sentit, par les palpitations convulsives de ma pine que j’étais prêt à décharger et, activant les mouvements de sa main et de son clitoris, nous tombâmes tous deux anéantis par les exquises jouissances produites par cette conjonction anti-naturelle de nos deux corps.

Plusieurs jours se passèrent ainsi pendant lesquels nous essayâmes tous les genres possibles de nous procurer la volupté.

Nous nous amusions, pendant les moments de repos, à chercher de nouvelles poses ou de nouvelles manières d’effectuer la conjonction de nos deux corps.

Une fois, pensant à l’état d’excitement dans lequel m’avait mis la fessée qu’elle m’avait donnée avec les verges, je lui demandai, comme si je ne connaissais pas déjà ce qu’il en était, si l’application des verges sur le derrière d’une femme, ou seulement l’acte lui-même de donner la fessée, n’excitait pas son sexe.

Elle me répondit que ces deux actes excitaient extraordinairement les femmes qui s’y livraient. Elle savait par expérience que d’être fouettée avec des verges lui procurait le plus violent excitement et la plus grande envie d’être foutue.

— Alors, dis-je, croyez-vous que cela ait excité mes sœurs aux plaisirs érotiques ?

— Certainement, et surtout ta sœur Elise. Je ne sais si tu as remarqué son mouvement soudain de venir m’étreindre et m’embrasser quand elle rentra à la salle d’étude le jour où je la fouettai ; c’é-