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à sucer, ce qui me fit bander de suite. Faisant toujours l’ignorant, je lui demandai s’il n’était pas possible de nous donner mutuellement ce plaisir.

— Oh ! oui, mon cher enfant, je suis si heureuse de penser que cela peut te plaire ! Mets-toi sur le dos, je me mettrai sur toi dans le sens contraire, et pendant que je sucerai cet énorme joujou, dont la tête peut à peine entrer dans ma bouche, tu feras tout ce que tu voudras avec ma fente.

— Est-ce que c’est ainsi que ça s’appelle, chère maman ?

— C’est un de ses noms, car il y en a beaucoup d’autres ; les hommes l’appellent généralement « con », de même que nous appelons votre affaire « pine », il est juste que tu saches leurs véritables noms.

— Pine et con ! Oh ! je ne l’oublierai pas. Ainsi, laissez-moi vite sucer votre admirable con.

Nous nous gamahuchâmes mutuellement et avalâmes tous deux la double émission finale ; nous continuâmes quand même nos brûlantes caresses, jusqu’à ce que nous fûmes à nouveau en pleine vigueur aspirant à de plus solides amusements.

— Mon cher enfant, tu es un si docile et si bon écolier, que je dois t’apprendre plusieurs manières d’enlever la raideur de ce gros morceau, qui paraît plus désireux que jamais d’être encore soulagé. Je vais te montrer la manière que mon mari préférait pour jouir de moi.

Elle s’accroupit sur ses genoux, me présentant son joli derrière, me dit de m’agenouiller derrière