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Naturellement, je ronflai plus fort, entr’ouvrant la bouche, comme plongé dans le plus profond sommeil. Elle tourna alors son attention sur l’objet frémissant et se hasarda à le toucher doucement ; puis, devenant plus hardie, elle le prit à pleine main par-dessus les couvertures, tournant alors la lumière vers ma figure, mais je restai immobile. Elle posa alors la bougie par terre, et prenant une chaise, s’assit tout près de mon lit ; alors elle me parla encore à voix basse. Voyant que je continuais à respirer bruyamment, elle insinua sa main sous les couvertures déjà à moitié retirées, la glissa avec beaucoup de précautions jusqu’à ma pine qu’elle empoigna doucement. Je sentis alors tout son corps trembler et sa respiration devenir courte et rapide. Elle fit aller doucement sa main depuis les poils jusqu’à la tête, paraissant excessivement excitée par son énorme grosseur ; quand elle atteignit la tête, l’outil se gonfla énormément dans sa main. Elle le lâcha et se tourna vers moi pour voir si cela ne m’avait pas réveillé ; mais je dormais profondément. Elle parut alors s’enhardir davantage, car elle appliqua ses deux mains à la fois, et il était évident qu’elle s’était agenouillée, prenant ainsi la meilleure position pour satisfaire ses désirs.

Je la sentis mettre les mains l’une au-dessus de l’autre, jusqu’à ce qu’elle s’arrêtât, s’apercevant que la tête dépassait encore beaucoup sa troisième mesure. Je l’entendis pousser une exclamation involontaire de surprise de trouver une pareille