Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/223

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
222


longtemps elle n’avait éprouvé que les plaisirs qu’elle pouvait prendre toute seule, mais que maintenant nous prendrions ensemble souvent les jouissances que deux femmes peuvent se procurer mutuellement l’une à l’autre.

Nous restâmes quelque temps couchées dans les bras l’une de l’autre, échangeant des propos lascifs, jusqu’au moment où l’heure tardive nous obligea à nous lever.

Nous avons depuis souvent recommencé, essayant de tous les moyens par lesquels deux femmes peuvent se faire jouir. Ta mère a souvent introduit son gros clitoris tout raide entre les lèvres de ma petite affaire aussi loin qu’elle pouvait, mais j’ai toujours désiré, mon cher Henry, de te sentir pénétrer plus avant avec cette chose bien plus longue et plus grosse que tu possèdes, quoique la découverte que j’ai faite aujourd’hui de la manière extraordinaire dont elle a augmenté de volume, me fait craindre qu’elle ne pourra jamais entrer.

Ainsi se terminèrent ses innocentes descriptions. Henry lui promit naturellement qu’il ne lui ferait aucun mal, que ces parties étaient faites pour cela, que sans doute le clitoris de sa mère l’avait fait souffrir la première fois, mais qu’après il lui avait procuré de grandes voluptés.

C’était la vérité, et c’était aussi ce qui lui donnait courage, et si l’occasion se présentait elle lui permettrait de faire tout ce qu’il voudrait.

On peut facilement supposer que cette descrip-