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plus deux pouces du rouleau dans le délicieux réceptacle. Alors la souffrance devint si grande, que le jeune Dale se serait sauvé loin du pasteur, si celui-ci n’avait pas pris la précaution de le tenir par les hanches aussi solidement qu’une vis, sans cependant essayer de pénétrer plus avant.

— Reste tranquille, mon garçon, je ne bougerai pas et tu t’apercevras dans une ou deux minutes que la souffrance aura passé.

Puis, tournant sa tête de mon côté, il dit :

— Charles, branle un peu gentiment le cher enfant.

J’obéis immédiatement, ce qui procura à Dale un plaisir tel qu’il en oublia la souffrance qu’il venait d’endurer, il poussa même son derrière en arrière, et comme j’avais profité du repos pour mouiller encore davantage le reste de l’outil, une nouvelle poussée suffit pour le faire entrer tout entier jusqu’aux couilles. Le jeune Dale cria encore d’arrêter que ça lui fait trop de mal. Le pasteur s’arrêta et moi je continuai à caresser la pine raide et enflammée de Dale.

Ses frémissements convulsifs, causés par nos lascives caresses, qui furent suivis de trémoussements involontaires, avaient beaucoup contribué à l’introduction complète du vit du pasteur. Il continuait cependant à rester immobile, attendant que les passions du jeune homme soient excitées davantage.

Alors tout doucement il se retira et se renfonça, mais d’une manière si gentille que bientôt les