Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/200

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
199


avec joie les dimensions et la raideur du vit du pasteur, et, entraîné par la passion, la prit dans sa main, s’agenouilla, la mit dans sa bouche et la suça avec volupté. Le pasteur avait placé ses mains sur la tête du jeune Dale, la pressait contre lui à chaque instant ; mais comme il ne voulait pas décharger encore, il le pria de se relever, le remerciant pour les jouissances exquises qu’il lui avait procurées.

— Maintenant, dit-il, c’est à votre tour de fouetter, Charles va monter sur mon dos et Henry Dale va prendre sur ton derrière sa première leçon de verges.

La pose s’arrangea comme il l’avait dit ; mon formidable saucisson se trouvait placé entre les fesses du pasteur, sa main pressait mon vit comme je l’avais fait pour Dale qui prit la verge en mains et me fit crier du premier coup qu’il m’appliqua, car le jeune drôle avait pris son rôle au sérieux. Le pasteur avait mouillé ma pine d’une grande quantité de salive, et écartant ses fesses, il la guida dans l’orifice avide dans lequel je m’enfonçai d’un seul coup jusqu’aux couilles. Je me saisis de son vit et le pressai tendrement, mais il me pria de ne pas le faire décharger, mais de prendre moi-même la plus grande jouissance possible, criant en même temps au jeune Dale :

— Fouettez-le bien fort, Henry, car il m’a foutu son immense pine dans le trou du cul ; c’est vraiment extraordinaire qu’elle ait pu entrer.

À la vérité, le jeune Dale pouvait à peine croire