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terrible châtiment ; je jugeais aussi prudent de prendre une figure triste.

Le pasteur étendit un linge sur son sopha, sous prétexte que nous avions de vilaines pines, pas propres, qui maculaient toujours son sopha ; il nous fit alors mettre à genoux dessus en baissant nos têtes et en relevant nos derrières ; il retroussa alors nos chemises et les roula jusque sous nos bras, non sans nous caresser lascivement, ce qui nous excita tous énormément, et le résultat fut que nos trois pines bandaient déjà affreusement.

Henry Dale tourna la tête pour regarder la mienne et ne put s’empêcher d’empoigner ce magnifique boudin.

Le jeune Dale, avec son membre plus petit, mais très joli, qui se développait de jour en jour davantage d’une manière incroyable, m’excita énormément et je lui rendis ses caresses.

— Ça ne peut pas se passer ainsi, dit le pasteur, il faut que, à coups de verges, je chasse l’esprit malin.

Pour être plus à l’aise, il retira sa robe de chambre, et prenant la verge d’une main, il fouetta doucement à tour de rôle nos deux derrières élevés.

Ce n’était pas pour nous punir, mais pour nous exciter qu’il agissait ainsi. Il mit rapidement nos derrières en feu, notre excitement devint très grand et nous remuions nos culs avec un bonheur évident ; c’était là le point que le pasteur voulait atteindre pour arriver à ses projets, qui étaient d’enculer le jeune Dale.