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lité ; d’autre part, moi-même non seulement j’aime à sucer une pine, mais j’adore aussi me la faire sucer et je n’ai pu résister à l’occasion et ai été enchanté d’apprendre que vous vous étiez déjà livré à ce charmant exercice. Est-ce que je ne vous ai pas fait bien jouir ?

— Oh ! oui, c’était délicieux et, même après avoir été réveillé, je m’imaginai que c’était ma jolie cousine qui m’avait certainement procuré ces jouissances, car je n’avais aucune idée qu’on pouvait prendre un aussi grand plaisir avec un autre garçon.

— Pourquoi pas ? Regardez comme ce charmant petit outil relève sa tête à ce seul souvenir ; regardez comme sa tête est rouge et comme il frissonne de plaisir ! Ah ! Il faut que je le suce encore, car c’est trop bon.

Je me jetai aussitôt dessus et me mis à la dévorer, faisant aller rapidement la tête en haut et en bas, lui chatouillant avec ma langue le bout du canal.

Ma bouche était pleine de salive, je mouillai quelques-uns de mes doigts pour lui lubrifier l’ouverture de son charmant derrière, et comme il devenait de plus en plus excité, tenant fortement pressée ma tête avec ses deux mains, j’enfonçai le doigt du milieu dans son fondement, le branlant à l’unisson avec les mouvements de ma bouche.

Je le rendis à moitié fou de plaisir, l’extase le saisit et, poussant un cri de délices avec des mou-