Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/187

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
186


jeune homme étaient maintenant toutes rouges et sa pine était extraordinairement enflammée, quant à la pine du pasteur, elle était aussi raide et aussi dure que possible.

Le pasteur cessa alors de fouetter et, serrant étroitement le garçon contre lui, dit :

— Eh bien ! vous n’avez pas fait aujourd’hui votre saleté, il paraît que la verge vous a fait du bien.

Le charmant garçon le regarda en souriant ; il avait senti la grosse pine du pasteur se glisser entre ses cuisses et se presser contre la fente de ses fesses. Comme le pasteur ne le maintenait plus, le garçon se retourna à moitié, il aperçut l’énorme pine qui sortait toute raide d’une forêt de poils noirs et frisés, faisant un étrange contraste avec son tout petit membre, qui était à peine couvert d’une légère toison soyeuse.

— Ah ! dit le pasteur, qui surprit le plaisir que fit au garçon la vue de cette magnifique pine, quelle honte de m’obliger à vous fouetter de cette manière, sans mon pantalon ; je dois vous sermonner un peu, aussi venez vous asseoir sur mes genoux ; et il le plaça de manière à ce que sa grosse pine se trouvât pressée par le charmant derrière ; puis prenant en main le vit du garçon, il dit :

— Comme il est raide ! !

— Oui, monsieur, c’est malgré moi.

— Eh bien, vous ne devez plus jouer à ces vilains jeux, je ne peux pas vous le permettre, vous êtes encore trop jeune.