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tement ignorant de ce que c’était et d’où cela pouvait provenir.

— Est-ce que cela vous est déjà arrivé ? demanda le pasteur.

— Oui, monsieur, hier pendant que ma cousine me caressait avec sa bouche, répondit le jeune garçon effrayé, mais je ne sais vraiment pas comment cela arriva, car je ne ressentis aucune souffrance.

— Ah ! vraiment, dit le pasteur, votre mère ne m’avait pas mentionné cela, est-ce qu’elle vous avait vu ?

— Non, monsieur, cela se passa avant qu’elle ne vînt et tout était fini quand elle entra sous la tonnelle.

— Ainsi, votre cousine le prit dans sa bouche, et pourquoi fit-elle cela ?

— Elle était curieuse de savoir ce qu’il y avait sous la peau de la tête, et pensant qu’elle ne pourrait la découvrir sans me faire mal, elle le prit dans sa bouche pour le mouiller de manière à pouvoir la découvrir plus facilement, ce qui arriva, en effet, très bien ; elle ramena ensuite la peau sur la tête, puis la retira encore avec ses lèvres, quand je me sentis tout drôle et quelque chose sortit de moi dans sa bouche.

— Vraiment ! mais vous me raconterez tout cela une autre fois. Pour le moment, vous avez été suffisamment fouetté et je vous punirai plus tard pour la saleté que vous avez faite sur mon sopha. Remettez votre pantalon et dans un ou deux jours,