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avoir été entendu, il ne put s’empêcher de regarder par dessous ses jupes et il vit, par la fente ouverte d’un joli pantalon blanc, des fesses rondes, gracieuses et blanches comme l’ivoire ; la chemise avait remonté on ne sait comment, laissant à découvert tous les charmes d’un jeune derrière et de blanches cuisses. Cette vue enflamma le jeune homme outre mesure ; il s’avança sans bruit tout près d’elle et se couchant par terre, jusqu’à ce que sa tête fût au-dessous de ses jupes relevées, il regarda avec avidité pendant quelque temps la jolie vue qu’il avait devant lui, la délicate petite fente rose et vierge, les lèvres rondes et fraîches, le mont de Vénus potelé, déjà légèrement couvert d’une fine toison frisée qui promettait de devenir beaucoup plus épaisse sous peu, en même temps que l’ampleur de ses jambes ravissantes et de ses genoux bien ronds.

L’objet de son admiration, trop occupé avec ses fleurs, ne se doutait nullement de ce qui se passait ; à la fin, cependant, le jeune garçon très excité ne peut résister à la tentation de caresser d’une main douce ces parties qui faisaient son admiration, ce qui fit pousser un léger cri d’effroi à sa cousine qui croyait que c’était un insecte qui s’était égaré sous ses jupes. Mais en détournant la tête, elle reconnut le coupable.

— Pardonne-moi, chère Ellen, mais vraiment tu me faisais voir de si jolies choses que, sur mon honneur, cela a été plus fort que moi.

Assurément, les filles sont aussi curieuses que les