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qu’il en aurait pour plusieurs semaines avant de se remettre.

Je me retirai alors, mais par la suite le pasteur ne pouvait plus arriver à bander sans avoir été préalablement bien fouetté. Quelquefois, il était obligé de fouetter les magnifiques fesses de ma tante pour pouvoir arriver à un bon résultat, déclarant que pour lui c’était aussi excitant que d’être fouetté lui-même.

Souvent il me fouetta aussi doucement, mais je professai une grande surprise sur les effets obtenus ; il faut aussi avouer que j’en avais rarement besoin.

Les vacances étaient terminées, mais j’étais toujours l’unique pensionnaire. Il y avait cependant vingt à trente jeunes garçons des environs qui venaient comme externes à l’école du pasteur. Avec eux le pasteur avait le choix pour faire ses séances de fouettage, mais il ne faisait connaître à aucun d’eux nos autres manières de jouir et ils s’imaginaient que les fessées n’étaient autre chose qu’une punition pour les fautes qu’ils avaient commises.

Cependant, j’ai été toujours choisi pour assister à ces séances de fouettage, je faisais le cheval, c’est-à-dire que c’est sur moi que montait l’élève qui devait être fouetté. Naturellement, je faisais mon possible pour bien exposer leurs ravissants vits et leurs derrières potelés et comme cela m’excitait presque autant que le pasteur, cela se terminait généralement ainsi : Une fois le coupable parti, je fouettais à mon tour vigoureusement le