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sai de dégonfler mon outil dans ton derrière, et ton affectueuse docilité me permit de jouir d’une extase inexprimable. Pendant que j’enculais ma femme, tu me foutais, me procurant les plus délicieuses sensations, comme tu as pu t’en apercevoir ensuite, soit en opérant toi-même, soit en étant opéré. Ce sont là des moments de suprême jouissance qu’ignorera toujours le monde avec ses stupides préjugés, et voilà les plaisirs aux mystères desquels nous t’avons initié. Pour les véritables amateurs de ces orgies amoureuses le langage obscène est un grand stimulant. Foutre, branler, enculer, con, pine, couilles, tétons, cul, trou, tous ces mots sacrés ne doivent être prononcés qu’au moment où on procède aux mystères de l’amour. Dans tous les autres moments de la vie, il faut toujours garder une grande décence, tant en paroles qu’en actions, car sans cela on annule les plaisirs que l’on éprouve dans l’acte amoureux accompagné d’un langage ordurier. De temps en temps, je te donnerai de bons conseils à ce sujet, pour le moment, tu en as assez ; goûtons maintenant des jouissances mutuelles.

Ayant ainsi terminé sa morale, il me prit dans ses bras et colla ses lèvres aux miennes. Nos deux mains alors s’égarèrent, la sienne sur ma pine qui répondit de suite à son attouchement, et la mienne sur son vit qui ne bandait qu’à moitié. Je le déboutonnai rapidement et le mis au jour ; puis, me mettant à genoux, je le pris dans ma bouche le suçai, pendant qu’avec une main je lui branlais