Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/125

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
124


rant un peu, je posai une main sur le derrière de ma tante et dévorai avec mes yeux enflammés les immenses fesses qui se trouvaient au-dessous. Excité par une aussi séduisante vue, je déchargeai à nouveau dans une agonie de plaisirs et dans l’extase de ma lubricité satisfaite et je m’affaissai insensible sur le dos large et magnifique de ma tante, qui avait elle-même déchargé plusieurs fois, criant comme un lapin, tombant elle-même sur son ventre, anéantie par le plaisir, m’entraînant avec elle, car elle gardait encore ma pine prisonnière dans son magnifique et délicieux trou du cul.

Nous restâmes ainsi pendant quelque temps, jusqu’à ce que le pasteur qui s’était purifié, pendant notre dernière course, nous dit de nous lever. Je m’arrachai avec difficulté de cette délicieuse prison et retirai ma pine qui était enfin devenue toute molle et pendante.

Le pasteur me complimenta sur le succès de cette dernière opération ; sa femme était encore toute frémissante des jouissances qu’elle avait éprouvées et nous fûmes obligés de l’aider à se relever. Elle se jeta dans mes bras, me serra étroitement sur son sein, m’embrassa tendrement, espérant qu’elle m’avait à la fin soulagé de ma peine. J’étais son enfant bien-aimé et elle serait toujours heureuse de me soulager chaque fois que cela sera nécessaire.

J’étais en moi-même très amusé de voir qu’elle continuait à st servir de cette raison, mais je fis semblant de croire, comme eux, et passai pour le