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jours aimée maîtresse, la chère, charmante et toujours adorable madame Benson. Combien elle était dans le vrai, lorsqu’elle me prédit que toutes celles qui viendraient après elle, si elles croyaient être les premières à me donner la leçon amoureuse, ressentiraient une joie double, triple, cent fois plus grande, à cause de cette seule idée.

Ainsi, mon ardente miss Frankland, qui avait une grande expérience dans les choses de l’amour, se pâmait à l’idée qu’elle instruisait pour la première fois un jeune élève aux jouissances de la passion. Cela ajoutait considérablement à son plaisir ; et elle m’avoua ensuite que, comme c’était la première fois qu’elle prenait le pucelage d’un jeune garçon, elle avait ressenti une volupté si grande, qu’elle n’en avait jamais éprouvé une pareille auparavant.

Je puis m’imaginer ses délices en trouvant combiné, avec cette satisfaction morale, un garçon extraordinairement membre et si apte à tous les excès de volupté qu’il soit possible d’imaginer.

Mais, je m’éloigne de mon sujet.

En ce moment, les attouchements magiques de miss Frankland avaient amené ma pine au point voulu, elle passa sa jambe sur moi et, se couchant sur mon corps, elle me dit que, cette fois, elle allait se foutre elle-même.

Guidant ma pine vers ses lèvres avides de la posséder, elle se laissa doucement glisser sur cet énorme pieu, sur lequel elle s’empala elle-même avec délices, jusqu’à ce que nos poils se rejoignis-