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con avide et lubrique dont elle avait trouvé l’entrée.

Ma tante fut saisie d’un pareil résultat, mais elle en était trop heureuse pour hésiter un seul instant. Croisant ses bras et ses jambes sur moi, elle fit de suite manœuvrer ses reins. J’étais moi-même fou de luxure, de sorte que notre course fut encore plus rapide que la première, et nous déchargeâmes avec une telle jouissance, que nous tombâmes tous deux tout à fait anéantis. Ma tante, qui ne pouvait moins faire que d’être grandement satisfaite, voulait encore avoir l’air de m’avoir soulagé ; elle me fit lever, disant que nous devions nous en aller, car il était l’heure du lunch.

— Mais, mon cher neveu, il faut que tu fasses aussi des efforts pour refréner ta raideur et ne pas devenir dur aussi souvent, tu me feras du mal avec ta violence.

— Oh ! ma chère tante, vous me soulagez en me procurant un bonheur si grand, que ma quéquette semble se raidir spécialement pour être soulagée par vous ; regardez comme elle est encore raide au travers de mon pantalon.

Elle mit sa main dessus, la pressa, et dit avec un profond soupir :

— Viens, viens, sans cela, je ne sais pas ce qui va arriver.

Elle m’emmena, mais de la manière dont elle me pressait le bras, je sentais qu’elle était encore très excitée. Sa prudence seule l’empêchait de se livrer à de plus longs ébats, car elle paraissait