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toute mouillée déjà d’excitement. Je me mis à genoux et dis en me baissant :

— Il faut que j’embrasse le cher objet qui me soulage si bien.

Je l’embrassai et gamahuchai jusqu’à ce que ma tante me dise de me relever et de me mettre sur elle, afin qu’elle puisse me soulager le plus vite possible. Je me relevai et enfonçai jusqu’aux couilles ma pine toute raide dans son con brûlant, lui coupant presque la respiration par mon attaque soudaine et impétueuse. Elle m’entoura presque immédiatement de ses bras et de ses jambes, et nous opérâmes tous deux avec une telle ardeur, que nous déchargeâmes rapidement en poussant des cris de volupté ; pendant un instant nous perdîmes connaissance, mais pour recouvrer bientôt nos sens et recommencer une nouvelle course furieuse. Cette fois ma tante laissa couler son foutre brûlant avant moi, ce qui ne l’empêcha pas de décharger encore lorsque je l’inondai d’un torrent de sperme que je lançai au fin fond de sa matrice. La crise finale fut encore plus ravissante que la première, et nous restâmes plus longtemps à savourer la langueur des sens satisfaits. La nature si excessivement voluptueuse de ses pressions intérieures réenflamma mes désirs libertins et redonna à ma pine une vigueur nouvelle. Nous restâmes cependant immobiles pendant quelque temps, jouissant tous deux de nos mutuelles palpitations, jusqu’à ce qu’enfin, n’y pouvant plus tenir, nous nous mîmes à opérer avec une rage folle. Ma tante