Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/105

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
106


couvrit avec les couvertures, montra son magnifique ventre nu, et en même temps, écartant ses énormes cuisses, elle me dit de monter sur elle, me disant qu’elle avait une fente dans son corps qui réduirait de suite la raideur de ma quéquette si je voulais la mettre dedans. Je me mis sur elle très maladroitement. Elle s’empara de ma pine toute raide, et plaçant la tête entre les lèvres de son con déjà tout mouillé, me dit de l’enfoncer aussi loin que je pourrais. Elle glissa dans sa délicieuse fente jusqu’aux couilles en un moment.

— Oh, ciel ! criai-je, comme c’est bon ! Chère, chère tante, que faut-il faire maintenant ? Il me semble que je vais mourir.

Mon apparente innocence semblait ajouter à son plaisir. Elle jeta de côté les couvertures qui nous couvraient, et, entourant mon corps de ses bras et de ses jambes, elle me pria de faire aller et venir mon derrière, de manière à faire entrer et sortir ma quéquette. Je suivis ses instructions et elle me seconda avec un art incroyable, pressant mon instrument par des serrements merveilleux quand je le sortais ou l’enfonçais, et se soulevant pour rencontrer mes coups avec la plus lubrique volupté. Je sentis la main du pasteur qui empoigna mes couilles et les pressa doucement. Je sentis que la crise approchait ; j’enfonçai jusqu’au fond en poussant un cri de jouissance ; mais me souvenant du rôle que je devais jouer, je m’écriai :

— Oh ! je meurs, ma chère tante ; oh ! oh ! arrêtez ! assez ! je n’en… peux… plus…