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dans le pavillon d’été, de sorte que nous ne pûmes nous livrer à nos jeux amoureux. Marie se plaignait d’une violente migraine, signe précurseur qu’elle allait avoir ses affaires, qui arrivèrent en effet avec abondance dans la soirée. Je m’étais entendu avec mes sœurs pour me glisser dans leur chambre aussitôt que tout le monde serait endormi, car maintenant que notre institutrice n’était plus là, elles en jouissaient entièrement. J’arrivai, mais Elise seule pouvait prendre part à nos amusements amoureux. Je la fis coucher avec moi dans le lit de miss Aline, et pendant tout le temps que je l’enfilais, je pensais à ma chère institutrice ; même pendant que je l’enculais je me rappelais l’introduction de mon gros vit dans le trou du cul d’Aline la nuit même qui précéda son mariage, et je me demandais si oui ou non son mari s’apercevrait qu’elle avait perdu son pucelage.

Je m’imaginais cependant qu’il ne s’apercevrait de rien et que sa femme le tromperait à ce sujet comme plusieurs millions d’autres avaient été trompés de la même manière. Comme elle avait choisi justement