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et dans la suite elle devint une des meilleures fouteuses, s’abandonnant à tous les plaisirs les plus sauvages que puisse suggérer la nature la plus lubrique.

Assez là-dessus : pour le moment je l’avais excitée au plus haut degré, elle était presque sur le point de décharger, et comme je me retirais un peu pour lui donner le coup final, elle souleva son derrière dans une agonie de jouissance. Je sentis que c’était le moment ou jamais, et plongeant dedans de toute ma force, je passai à travers tous les obstacles et continuai mon entrée à l’intérieur jusqu’à ce que je fusse enfoncé jusqu’aux couilles.

Pauvre Elise ! Au moment où elle se croyait au septième ciel de bonheur elle ressentit la plus cruelle agonie. Elle poussa un cri perçant et s’évanouit : ses bras tombèrent sans force le long de son corps, ses jambes seraient aussi tombées, mais ayant passé mes bras autour d’elles, je continuai par plusieurs coups successifs à pénétrer entièrement et aisément dans chaque repli, car j’étais moi-même dans un état d’excitement extraordinaire. Je mourus dans un