Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/29

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 23 —


passion assouvie. Ses magnifiques jambes passées sur les miennes, elle enroula son bras autour de mon cou, m’embrassa voluptueusement et mélangea ses accents les plus doux de remerciements avec ses flatteries et ses caresses passionnées.

Je demeurai ainsi dans le bosquet de Paphos, éprouvant une sensation exquise impossible à décrire, mon plaisir était plus grand que dans les moments où mes mouvements avaient été des plus actifs. Je serais resté ainsi plusieurs heures sans l’excitement de ma pine dont la sensibilité était trop rapidement mise en action par les pressions lascives de ce con délicieux dans lequel j’étais engouffré. Elle avait repris graduellement sa première raideur et était maintenant complètement gonflée, palpitant impatiemment pour de nouveaux combats. Je commençai à bouger, mais miss Aline me dit :

— Oh ! mon Charles, assez, mon cher enfant, non seulement nous devons être prudents, mais il faut tenir compte de ta santé et de ta jeunesse ; oui, oh ! oui, mon cher enfant, oh ! je t’en prie, cesse.