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cédant son mariage. Elle ne me répondit pas, mais je sentis qu’elle se branlait avec une plus grande fureur ; et les palpitations nerveuses de son sphincter me convainquirent bientôt que rien ne pouvait lui être plus agréable que de terminer ma course où j’étais ; elle fut en effet délicieuse. Nous aurions déchargé en poussant des cris de jouissance, mais nous étions retenus par la prudence, car, à ce moment, la voiture devait déjà l’attendre sur la route qui se trouvait à quelques mètres du pavillon.

Ma charmante maîtresse paraissait ne pas vouloir me laisser déculer ; elle serrait ma pine très étroitement, la pressant de temps en temps par des mouvements convulsifs et l’excitant tellement qu’elle la sentit bientôt se raidir à nouveau dans son derrière.

Elle se mit debout sur ses jambes et me délogea par ce mouvement. Se retournant alors, elle me jeta ses bras autour du cou et m’embrassa bien tendrement pour lui avoir donné d’aussi délicieuses preuves d’amour.

— Mais il faut que je parte, mon Charles chéri, et j’espère que nous retrouverons