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procha le moment de la grande et voluptueuse crise finale, je poussai des cris, absolument comme un âne, ce dont nous rîmes beaucoup ensuite, dans des moments où nos sens étaient moins excités. Les décharges s’effectuèrent toutes en même temps et nous tombâmes tous anéantis en une masse inerte sur la pauvre Marie. Nous étions étonnés qu’elle ait pu tous nous supporter, mais elle avait été tellement excitée par cette scène, qu’elle n’avait pas senti nos poids. Nous nous levâmes ensuite, et après nous être un peu purifiés, nous nous réconfortâmes avec du vin et des gâteaux dont Mac Callum avait eu la bonne idée de s’approvisionner. Il ne nous permit pas de recommencer à foutre pendant un certain temps, nous nous mîmes à jouer autour de la chambre, ce qui nous divertit énormément, et on n’entendait plus que les claques sonnant sur nos fesses ainsi que nos fous rires, jusqu’à ce que nos deux pines, se dressant dures et fermes, montrèrent que nous étions prêts pour de nouveaux combats.

Cette fois-ci ce fut Elise qui s’étendit sur le dos et Marie qui la gamahucha ; Mac