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coup sur son caractère, ce qui est douteux.

Je ne pouvais m’empêcher de songer intérieurement comment il avait bien deviné ma pensée, car je venais de calculer en moi-même, combien cela vaudrait beaucoup mieux pour nous tous de le faire participer à nos jouissances plutôt que de l’avoir pour ennemi en lui refusant. Aussi j’avouai de suite que, puisqu’il en était ainsi et que nous devions tous en avoir plus de plaisir, je consentais à cet arrangement et je priai Marie de lui laisser faire ce qu’il voudrait.

La répugnance naturelle à la femme d’avoir l’air de céder trop facilement, amena un refus de la part de Marie, mais comme elle était encore sur le dos, je me penchai sur elle, lui ouvris les cuisses et le priai de s’agenouiller entre ses jambes et de s’aider lui-même pour le reste. Se mettant à genoux, il se baissa en avant et galamment se mit à lécher tout le foutre dont les lèvres de son con étaient couvertes, puis la gamahucha ensuite, ce qui la rendit aussi désireuse de sentir une pine qu’il était désireux lui-même de la foutre. Aussitôt qu’ils furent bien engagés à cela, je sifflai pour faire ve-