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NOTES DU LIVRE VINGT-UNIÈME.

qu’au sein de la liberté. On débite beaucoup de fables qui donneraient une origine isolée à chacune de ces inventions : Moréri a pris soin de consigner dans son dictionnaire ce qu’on a imaginé sur l’origine du chevalet de Montpellier, Le conte est assez gai et digue de figurer avec ceux de Bocace. Notre troubadour l’a choisi pour servir de dénouement à son recueil d’historiettes vraies ou vraisemblables du treizième siècle, voyez le livre XXIX.

(7) Ce passage peut paraître bien philosophique pour le treizième siècle ; mais il ne faut pas oublier qu’Agnès était fille d’un second mariage de Guillaume de Montpellier, contracté du vivant de sa première femme, et que le pape ne consentit jamais à ratifier. Cette circonstance a pu contribuer à rendre Agnès moins exigeante.


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