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NOTES


NOTES
DU LIVRE SEIZIÈME.
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(1) Ce concile se tint en 1225, trois ans après la mort de Raymond. Le fils de ce prince et Amalric de Montfort y plaidèrent eux-mêmes leur cause, et Raymond fut condamné comme il devait s’y attendre.

L’archevêché de Narbonne était alors vacant ; les archevêques de Lyon, de Sens et de Rouen, s’y disputèrent si vivement la primauté, qu’on ne put les mettre d’accord ; le concile prit alors la forme d’une assemblée particulière.

Histoire de Languedoc, t. 3, p. 348.