TABLE DES GRAVURES ET CARTES
AU CŒUR DE L’ANTARCTIQUE
par Sir ERNEST SIHACKLETON
NoTRE REMORQUEUR PLONGE DANS LE CREUX DES LAMES, NE NOUS LAISSANT VOIR QUE SES CHEMINÉES ET SES MATS . . . LE « NIMAOD » NAVIRE DE L’EXPÉDITION, DANS SA MARGHE VERS LE SUD, « . . Some ms ee ee AU DÉPART DE LYTTELTON x (NOUvEL LE-ZÉLANDE) LE « NIMROD » EST ACCLAMÉ PAR UNE FOULE INNOMBRABLE, . . . , + -DANS LA MER DE Ross, DES VOLS LE PÉTRELS ANTARCTIQUES. SoR MON ORDRE, LE « NIMROD » SE DIRIGE VERS LA TERRE DU no : EoouanD VIT AU CAP, QUI À LA FORME DE L’AVANT D’UN GIGANTESQUE CUI-RASSÉ, NOUS DONNONS LE NOM DE « DREADNOUGHT » , . . EN VUE DU PACK ET DE SON CHAMP D’ICEBERGS. . . . . . CARTE POUR SUIVRE L’EXPÉDITION ANTARCTIQUE DE SIR ERNEST SHACKLETON. eme te UN « INLET » (CANAL, DÉTROIT) DANS LA GRANDE BARRIÈRE DR GLACE, eme em es ss et Nous NOUS TROUVONS EN PRÉSENCE D’ICEBERGS TABULAIRES. À PENTE DE VUE, LA MER EST COUVERTE D’ÉNORMES BLOCS BLANCS em es La GRANDE BARRIÈRE DE GLAGE, DONT LA HAUTEUR VARIE DE 45 À 60 MÈTRES, NOUS ARRACHE DES CRIS D ’ADMIRATION, -AU LARGE, UN PACE TRÈS ÉPAIS AVEC PLUSIEURS ICEBERGS... . SILLAGE DU « NIMHOD » A TRAVERS LA GLACE MORCELÉE . . . Nos QUARTIERS D’HIVER VUS DU COTÉ NORD ,. . . . . . + : DÉBARQUEMENT DES PONEYS A L’AIDE D’UN BOX. . - . Le « NIMROD » A L’ANCRE EN FACE DU CAP Royps ; AU PREMIER PLAN, LA « RÉSERVE » DES PINGOUINS. . . . .°. + + - : LA CREVASSE DE MARÉE QUI SÉPARE LA BANQUISE DE LA TERRE FERME S’ÉLARGIT PROGRESSIVEMENT. . , . . + . + + L’AUTOMOBILE SUR LA MER DE GLACE ; AU VOLANT, NOTRE . MÉCANICIEN Day. . . . . . ..… ss er Les HUIT PONEYS SIUÉRIENS, DONT TROIS MOURURENT EN ARR VANT SUR LE SOL ANTARCTIQUE FOUR Y AVOIR MANGÉ DU SABLE , . + : « + sus sue UN FORMIDABLE CRAQUEMENT SE FAIT ENTENDRE : LA GLACE OU S’ÉTAIT OPÉRÉ LE PREMIER DÉBARQUEMENT EST ROMPUE. EN TENUE DE CAMPAGNE. UNE FOIS INSTALLÉS, NOUS SONGEONS A PARER LES TRAINEAUX. ENTRE TEMPS NOUS POUVIONS CHASSER LE PINGOUIN. . . . . LE onEY QUAN ÉTAIT LE PLUS ENRAGÉ DE LA BANDE. . . . LES APPROVISIONNEMENTS SE TROUVENT RECOUVERTS D’UNE CARAPACE DE GLACE ÉPAISSE DE 4®50,....... .. Nous EXTRAYONS LES PROVISIONS DE CÆ TOIT GRISTALLIN. . . LES SEUNES CHIENS RÉCHERCHAIENT NOS BOITES POUR S$ *Y COU-CHER Le 5 MARS, À 7 H. 1. 45, LES ASCENSIONNISTES DE L’ÉREBUS SE METTENT EN ROUTE . . . « , « + + + + + + + + + + + Sous UNE CORNICHE DE NEIGE. . . . - . + + + + + + * SUR LES PREMIÈRES PENTES DE L’IREBUS, . . . . . . . . .
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D’APRÈS LES ANÉROÏDES, L’ALTITUDE DU MONT ÉREBUS PEUT ÊTRE FIXÉE À 4075 MÊTRES. . , . . . . . . . . . LE PORTAGE DU TRAINEAU PAR-DESSUS UNE PARTIE ROCHEUSE, NOTRE CAMPEMENT A L’ALTITUDE DE 2 133 MÈTRES, SUR LES FLANCS DU MONT EREBUS. . , . . . . . . . + . . . . NOUS HALONS DE LA VIANDE DE PHOQUE JUSQU’AUX QUARTIERS D’HIVER. . , « . ns ee Lou nu es Vers 10 HEURES DU MATIN, LE 10 MARS, LA CARAY ANE ATTKI-GNIT LE SOMMET DU CRATÈRE ACTIF, , . . Loue DES FUMEROLLES ÉTAIENT CONGELÉES DANS L ANCIEN CRATÈRE. BROCKLEHURST INSPECTANT L’HORIZON A 2 745 MÈTRES DE HAU-TEUR SUR L’ÉREBUS, . . 4 4e 4 4 + Nous PASSONS A 400 MÈTRES EN DESSOUS DU CONE ACTIF. . QUELQUES JOURS APRÈS LE RETOUR DES ASCENSIONNISTES, UNE ESCOUADE ALLA RECHERCHER LES BAGAGES LAISSÉS EN ARRIÈRE. UNE SÉANCE DE MUSIQUE PENDANT L’HIVERNAGE. . . , . . . Le PRoFEsseuR DaAvib PRÈS DE L’ANÉMOMÈTRE DE Mawson. LE GHEF DE L’EXPÉDITION EN COSTUME D’HIVER, . . . . . LES PLAISIRS DE LA CHASSE : CAPTURE D’UN LÉOPARD DE MER. LES PLAISIRS DE LA LECTURE : MARSTON DANS SON LIT, . . EFFET DE PLEINE LUNE EN AUTOMNE . . . . . Leu . LES FÊTES DONNÉES DANS LES GRANDES OCCASIONS, COMME PAR EXEMPLE AU MOMENT DU SOLSTICE D’HIVER. . . . - . DE N08 QUARTIERS D’HIVER ON DISTINGUE NETTEMENT LE MONT
EREBUS. . . + MurRAY ET PRIESTLEY DESCENDENT DANS UN PUITS CREUSÉ DANS LA GLACE RECOUVRANT LE LAC VERT. . . . . . . .
… Pour CEUX QUI SAVENT MANIER UNE PRESSE ET DES CARAC-TÈRES D’IMPRIMERIE, 4 « « . + + + + + + + . « . Le 44 AOÛT NOUS ARRIVONS PRÈS DE LA CABANE DE LA « Dis-
COVERY Ben nm LES QUARTIERS D’HIVER DE L’EXPÉDITION DE LA « DISCOVERY » APRÈS SIX ANS mm 4 + + +
LES QUATRE HOMMES DE L’ESCOUADE DU SUD, RENFORCÉE D’UNE ESCOUADE DE SOUTIEN, AU MOMENT DE PARTIR POUR LE POLE. La TENTE DRESSÉE SUR UN CHAMP DE NEIGE DURE. . . . . . « SOCKS », UN DES QUATRE PONEYS DE L’ESCOUADE DU SUD. . « CHINAMAN », AUTRE PONEY DE L’ESCOUADE DU SUD. . . . « (RISI », LE PLUS VAILLANT DES QUATRE PONEYS, . . . . «(JUAN » QUI DUT ÊTRE ABATTU LE PREMIER DES QUATRE PONEYS. LE CANPEMENT A LA POINTE DE LA HUTTE. . Lure L’ESCOUADE DU SUD EN ROUTE VERS L’INCONNU . . . . LES PONEYS ENTRAVÉS POUR LA NUIT. . . . Le. Nous NOUS ARRÈTONS DEVANT UN SUPERBE PANORAMA DE GLA-CIERS ET DE MONTAGNES . . . . « + . « .« « . + + . . SUR TOUTE SA LARGEUR, LE GLACIER EST DISLOQUÉ PAR LA PRESSION DE L’ÉNLANDSIS . , . , . . . . . « . . + . . Nous CAMPONS APRÈS AVOIR FRANCHI LE PARALLÈLE QUE L’HOMME N’AVAIT POINT ENCORE DÉPASSÉ : 82° 18 30" . . . .. LES TENTES SONT ENFOUIES SOUS DES MONCEAUX DE NEIGE EN-
TASSÉS PAR LE BLIZZARD. . . . . . . se er se + LE BIVOUAC OÙ NOUS AVONS DU ABATTRE « Grisi 5, FOURBU ET À MOITIÉ AVEUGLE . - « « . + + : nn ss
L’ESCOUADE DE SOUTIEN ARRIVANT PRÈS DES QUARTIERS D’HIVER.
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