Page:Le Nismois, La Tunique de Nessus, 1900.djvu/213

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion
— 211 —

Les cœurs battaient, les sens s’alanguissaient, Irène, la première, se renversa sur les coussins de son canapé, ouvrit les bras à Mohammed et, entre deux services, les soubrettes jetant des pétales de fleurs sur les deux amants, se fit baiser.

Olympe et Gabrielle n’osaient pas.

Déculisse sortit sa queue, Olympe avait inconsciemment exécuté la manœuvre d’Irène pour le suçage et cette manœuvre, amenant le résultat, elle tressaillit, glissa à genoux et suça.

Gabrielle, à cheval sur Stanislas, s’abandonnait.